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![]() Le Songe Les caractéristiques et la stucture |
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On remarque diverses constantes qui se dégagent dans le théâtre élisabéthain.
Tout comme la stylisation du décor, le mélange de tragique et de comique, les emprunts à la mythologie et à l’histoire
et l’ alliance de réalisme verbal et de poésie. Ces théâtres sont
loin d’être identiques à ceux que nous connaissons aujourd’hui. Ce furent en Angleterre
que les premiers théâtres permanents prirent forme. Un seul document d’époque
existe afin de nous d’écrire comment était construit cette scène. Dans le théâtre
élisabéthain, les acteurs ont parfois plusieurs rôles à interpréter. Le spectacle se déroule et dès que l’acteur
a fini de jouer son rôle, il part dans les coulisses. Les habilleuses et les repasseuses lui mettent
un autre habit. Si jamais l’acteur a besoin d’un objet pour jouer, il va dans le magasin
d’accessoires. Après, il peut repartir sur la scène pour jouer.On remarque que la scène peut comporter plusieurs éléments, c’est
une scène à aires multiples. Il peut y avoir un décor de carton ou même quelquefois des murs en béton et des maquettes du
genre appartements ou maisons. En somme, les théâtres étaient construits
selon un dispositif scénique. Cela permettait de présenter plusieurs actions en même temps, et dans des lieux très différents. Le spectacle élisabéthain était dressé en plein air,
de sorte que la foule entourait la scène des trois côtés. La
scène principale s’avançait jusqu’au milieu du parterre afin que tout les spectateurs puissent voir ce
qui se produisait sur celle-ci. Puis il y a une partie de cette scène
qui est en retrait et qui est dissimulé par des rideaux afin que les spectateurs ne puissent voir ce qui était présenté. C’est
sur cette scène d’intérieur que se jouent les moments les plus tragiques comme les meurtres.
Celle-ci donnait aussi accès aux coulisses et aux loges des acteurs. Au-dessus
de cette scène, il y a un premier étage c’est par ce palier que l’on peut simuler des lieux surélevés comme
le balcon de Juliette. Quant au deuxième étage de la galerie, il était réservé aux musiciens dont
la présence fait partie prenante au jeu du comédien. Les machineries étaient logées dans le dessus
de la scène et on y avait accès par une trappe. Cela permettait de produire
toute sorte d’effets autant sonores que visuels. Il pouvait y avoir des bruitages
afin d’imiter des animaux, du feuillage, des chants d’oiseaux ou le bruit du tonnerre. Également, certains acteurs
descendaient de cette trappe afin de simuler des dieux. Bref, on constate avec ces divers tendances
que le dispositif du théâtre élisabéthain favorise un contact étroit entre le comédien et le public. |
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